A marcher dans les rues, les gens ne savent jamais sur quoi tomber… Ou qui ! Dans le cadre de notre protagoniste, ce dernier marchait dans les rues comme perdu. Il errait, la tête haute. Gabriel n’avait peur de rien et ça l’on le sentait. L’adolescent étant quelqu’un se montrant avoir du cran, il ne montrait pas ses points faibles. Après tout il comblait ses faiblesses avec des astuces propres à lui. Après tout, il devait bien combler les cotés fragile qu’il pourrait avoir. Bref… Dans les rues de cette ville il n’avait pas peur, loin de là. En fait on pouvait le comparer à quelqu’un de fou. En vu du fait qu’il marchait la tête haute et qu’il ignorait le regard des autres. Pour le moment c’était ce qu’il faisait. Après tout c’était normal de le regarder, il avait tout de même des bandages ensanglanter sur son bras gauche, sa main droite elle, elle possédait des éraflures mais rien de méchant. A regarder de plus près pour lui rien était grave, après tout… C’était son gagne pain de se battre, pour ainsi essayer de poursuivre ses études, il le fallait et Céleste ne serait pas contente de savoir qu’il ne suive pas les cours. C’était pour cette raison qu’il était présent en cour et qu’il suivait. Malheureusement ses notes étaient une catastrophe, ne parvenant pas à réviser correctement à cause de ses combats pour survivre… C’était réellement difficile. Plus il pensait à tout cela plus Gabriel se demandait si cela en valait réellement la peine de continuer tout ce qu’il faisait, revoyant les images de son aimée défunte, il avait du mal. Mais ce n’était pas un détail important, après tout maintenant il était seul et sans famille. Mais personne ne le savait, personne ne pouvait le connaître vu qu’il ne parle à personne. En vrai les gens devaient se demander pourquoi il se montre si distant.
Sur le chemin pour rentrer, Gabriel se sentait un peu légèrement suivit… Enfin il se sentait un peu trop suivit. Au point qu’il décida de s’arrêter, l’argent qu’il avait amassé aujourd’hui était suffisant pour vivre quelques jours, mais sans plus. Peut être que le type qu’il avait massacré allait appeler ses camarades pour le récupérer. L’adolescent se retourna et vit trois types lui sourire, trois… C’était un peu trop pour lui. Mais Gabriel était quelqu’un qui n’aimait pas laisser tomber, ce qu’il avait durement acquit devait lui rester ! L’un des trois gaillards vain se mettre face à lui et sortant un couteau papillon il le pointa vers Gabriel, celui-ci ne bougea pas d’un sil. Comment pouvait-il rester ainsi sans bouger ? Le regard de Gabriel restait assez froid d’apparence, mais dans le fond c’était un peu une blague pour lui, enfin… Pointer un couteau sur lui ?! Qu’elle plaisanterie. Sincèrement, est ce qu’un couteau allait l’effrayer ? Non pas du tout, là il fallait vraiment faire attention. Il suffisait juste d’un coup de pied pour désarmer son adversaire et lui prendre la lame. Hors là, Gabriel préféra garder son calme et ne rien dire. Déjà le jeune homme se fichait complètement de qu’elle gang ils étaient. Ce qui l’intéressa c’était de détrousser les détrousseurs. Après tout ses derniers n’étaient autres que des andouilles qui se croyaient supérieurs quand ils sont en groupe. Mais seul ils ne valaient rien ! C’était sur se point qu’il allait s’appuyer, les avoirs un à un. Le regard toujours sur celui armé du couteau, les deux autre firent les guets pour voir si des gens arrivaient ou non. C’était la leur plus grave erreur. Gabriel étant comme un loup dans une bergerie. Il allait se régaler.
??? : « Allez file nous ton fric, on sait que t’es bien amoché. »
Gabriel ne répondit pas à son agresseur, celui-ci répéta alors sa phrase. Ensuite après l’avoir répéter pour une troisième fois il vit Gabriel assombrir son regard, l’agresseur ne comprit pas ce qu’avait Gabriel en tête. Mais Gabriel lui savait ce qui allait se produire sous peu. Le coup de couteau arrivant vers Gabriel, ce dernier attrapa le poignet armé et chopant le type par la gorge avec sa main libre, ce fut suivit d’un mouvement de la jambe de Gabriel de manière à faire tomber son ennemi ! Le planquant ainsi au sol, il lui claqua la tête contre le sol ce qui l’assomma. Prenant ainsi le couteau papillon, son regard se basa vers les deux autres qui ne regardaient pas, ceux-ci ne devaient pas se douter que c’était leur ami qui était K.O !
??? 2 : « Kévin dépêche toi de prendre son fric faut se tirer voilà du monde ! »
Sans un mot celui qui venait de parler vit la lame du couteau sous sa gorge, le dernier apercevant la scène décida de prendre la fuite en courant ! Le regard de Gabriel était si froid, si effrayant… Le fameux Kévin revenait à lui peu à peu, alors que celui que Gabriel avait en otage décida de se laisser détrousser. Gabriel retira la lame et le fit tomber de manière à lui faire comprendre. Puis le Kévin en question lui se relevant vit que Gabriel le regardait, là… C’était la panique, il se mit à courir pour le fuir, mais dans un mouvement très intéressant, Gabriel lança le couteau qui vint se planter dans la jambe du gaillard, avançant vers lui il allait lui retirer le couteau, quand subitement Gabriel vit quelqu’un.
Kévin : « Aidez-moi ! Ce ce… ce type est un monstre ! »
Un soupire fut émit de la part de Gabriel qui retira la lame de la jambe de Kévin, celui-ci hurla de douleur et pleurait. Rampant vers la personne pour lui demander d’appeler les flics. Gabriel lui fixa son regard vers l’étrange personne. Celle-ci sembla être là depuis un moment.
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